Chers amis lecteurs,
je relaie bien volontiers un appel urgent de mes amis de La Tribune de Lyon (nous avons, François Sapy, le patron du journal, et moi travaillé ensemble dans notre jeunesse !).
La Tribune de Lyon risque de disparaitre. A nous de jouer dans les quatre prochains jours si nous voulons garder ce titre dirigé par des journalistes qui ont eu le courage de monter leur projet éditorial ! Je vous laisse lire leur appel…
Ce n’est pas Noël pour tout le monde : La Tribune de Lyon est en danger. Pour faire vivre un projet de presse indépendant comme le nôtre, les annonces judiciaires et légales publiées chaque semaine constituent une ressource financière indispensable.
Chaque année, une commission préfectorale délivre l’agrément nécessaire à la publication de ces annonces légales. Nous l’avons obtenu l’an dernier pour la première fois. Or, cette année, suite aux actions très agressives de certains de nos concurrents, par ailleurs membres de cette commission – ils sont donc à la fois juges et parties ! -, la préfecture envisagerait de nous retirer l’agrément.
Depuis plusieurs semaines, les services de la préfecture nous demandent en effet de produire dans des délais irraisonnables un déluge de documents pour prouver que nous remplissons bien les conditions afin d’obtenir l’agrément. Nous avons produit tous ces documents. En temps et en heure.
Mais, lors de la réunion de la commission, ce vendredi 21 décembre au matin, Tribune de Lyon a appris que certains éléments justificatifs, pourtant délivrés il y a plusieurs semaines, ne sont subitement plus valables. Sans explication.
Notre ultime chance : trouver 600 abonnements avant le 26 décembre ! Faute de quoi, Tribune de Lyon pourrait disparaître.
C’est pourquoi nous avons décidé de rendre publique cette information. Si vous croyez en notre journal et en sa liberté de ton, nous vous demandons de solliciter votre entourage pour souscrire avant le 26 décembre des abonnements annuels à 45 euros (pour 52 numéros).
Ce prix là, c’est celui de la liberté de la presse à Lyon.
Chaque année, une commission préfectorale délivre l’agrément nécessaire à la publication de ces annonces légales. Nous l’avons obtenu l’an dernier pour la première fois. Or, cette année, suite aux actions très agressives de certains de nos concurrents, par ailleurs membres de cette commission – ils sont donc à la fois juges et parties ! -, la préfecture envisagerait de nous retirer l’agrément.
Depuis plusieurs semaines, les services de la préfecture nous demandent en effet de produire dans des délais irraisonnables un déluge de documents pour prouver que nous remplissons bien les conditions afin d’obtenir l’agrément. Nous avons produit tous ces documents. En temps et en heure.
Mais, lors de la réunion de la commission, ce vendredi 21 décembre au matin, Tribune de Lyon a appris que certains éléments justificatifs, pourtant délivrés il y a plusieurs semaines, ne sont subitement plus valables. Sans explication.
Notre ultime chance : trouver 600 abonnements avant le 26 décembre ! Faute de quoi, Tribune de Lyon pourrait disparaître.
C’est pourquoi nous avons décidé de rendre publique cette information. Si vous croyez en notre journal et en sa liberté de ton, nous vous demandons de solliciter votre entourage pour souscrire avant le 26 décembre des abonnements annuels à 45 euros (pour 52 numéros).
Ce prix là, c’est celui de la liberté de la presse à Lyon.
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Vous pouvez envoyer votre chèque d’abonnement de 45 euros pour un an d’abonnement ou venir le déposer à la rédaction de Tribune de Lyon : 11, rue de l’Arbre-Sec (1er arr.)
Tél. : 04 72 69 15 15.
Une permanence sera assurée demain samedi, lundi 24 et mardi 25 jusqu’à midi.
Et si les 600 abonnements ne sont pas là, il y aura dépot de bilan…..et ceux qui auront voulu aider, débités de leurs chèques et… sans abonnements !!!!!!
Le Progrès Ÿ n'attend rien des moins de 30 ans
En grande difficulté économique, le quotidien historique de Lyon ne compte pas sur les jeunes pour étoffer son lectorat. Je ne vais pas perdre mon temps avec les jeunes, confessait hier Gérard Lignac, PDG du Progrès dans Tribune de Lyon. Nous n'en avons jamais eu. Ils lisent plutôt Tintin ou Mickey. On commence à lire la presse vers 30-35 ans. Ÿ Le journal, qui vient de fêter ses 148 ans, est sous le coup d'un drastique plan de restructuration.
F. C. – Œ2007 20 minutes – 20 Minutes, éditions du 21/12/2007 – 07h07
merci pour l'info sur la tribune de lyon.