Il est 6h45. Après un dîner homérique dans un super troquet à l’ancienne, la nuit fut courte. Je file avenue Bosquet, au siège du Medef, pour attraper la navette qui me conduira à Jouy-en-Josas. Seul le siège du syndicat patronal diffuse un halo lumineux dans cette très chic artère, à deux pas des Invalides. Pas une brasserie, pas un cani d’ouvert. Le désert !
Je suis obligé, Elodie sur mes talons, de quadriller le quartier pour trouver un café. Une brasserie, en pleine livraison de fûts de bière et autres bibines, accepte d’ouvrir avant les 7 heures syndicales. Le p’tit noir est salvateur. La boulangerie en face se réveille officiellement. Bonnes odeurs. La radio, sûrement branchée sur Nostalgie, diffuse la chanson de Dutronc. « Il est 5 heures, Paris s’éveille… » Depuis les années 70, on a pris deux heures dans la vue. Que fait le Medef ?
Un souper Humeaurique avec un coquet à l’ancienne et une courte nuit derrière… Au matin Erick et son trois mâts son en piste maidai maidai Medef…. A la recherche du pain perdu….
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Lapsus antécaféine ou perfidie plumitive ? Le titre du premier post : Medef 1… Mes défunts !
On aurait préféré les lettres pour savourer Medef I et Medef O.
Bon allez au boulot….
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